EDITO
2 août 2021
Et si les médias mainstream délaissaient la propagande officielle pour présenter la réalité, les bulletins de nouvelles pourraient ressembler à cela.
Aujourd’hui 7.8 milliards de personnes ont survécu à la COVID-19.
Le taux de survie demeure à 99.84%.
Des traitements simples, sûrs et efficaces permettent de traiter les personnes développant des symptômes. Une prise en charge précoce élimine presque complètement les hospitalisations qui demeurent exceptionnelles et concernent essentiellement des personnes âgées et celles présentant des comorbidités.
L’âge moyen des morts de la COVID 19 est 82 ans.
Les personnes jeunes et en bonne santé ont plus de risques à prendre le vaccin qu’avec la maladie.
Les vaccins, qui sont en fait des thérapies géniques expérimentales en phase III d’études cliniques, présentent un taux d’effets secondaires graves jamais observés depuis la création des systèmes de pharmacovigilance.
Ils ne protègent pas efficacement contre les derniers variants, n’empêchent pas la transmission du virus et de plus en plus de chercheurs d’inquiètent du risque d’ADE, de la toxicité de la protéine de pointe, des risques de mutation de virus résistants aux anticorps et de la présence d’oxyde de graphène. Sans parler de l’absence totale de connaissances sur les risques à long terme sous forme par exemple de maladies auto-immunes.
Les mesures de confinements ont détruit les économies et les dommages collatéraux ont causé des millions de victimes à travers le monde souffrant de troubles psychologiques et physiques.
L’instauration de passes sanitaires est une dérive technocratique et autoritaire menaçant les fondements mêmes des sociétés démocratiques. Il s’agit d’un recul sans précédent des libertés individuelles dans notre histoire récente.
Il est urgent de revenir à la réalité et d’apprendre à vivre avec ce virus avec les moyens sûrs et efficaces à notre disposition et de cesser de faire de cette crise sanitaire un instrument politique.
Il est plus que temps d’encadrer les pratiques commerciales prédatrices des grands groupes internationaux et de leurs bailleurs de fonds.
Les mouvements citoyens doivent rappeler aux institutions qu’elles sont au service du bien commun et non à celui des intérêts privés.
Les gouvernants, les sachants et les possédants alimentant et profitants de la corruption systématique des institutions doivent être remplacés au plus vite par des hommes et des femmes ayant à coeur de servir leur prochain et de contribuer au réel développement humain.
3 Articles récents pour éclairer le débat.
Un expert allemand contre la stratégie anti-coronavirus: arrêtons de paniquer et retournons à une vie normale
"Vos dirigeants devraient avoir honte d’avoir refusé les traitements précoces" Paolo Zanotto
https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/paolo-zanotto
Michel Maffesoli : "Le pouvoir se sert de la tyrannie sanitaire pour aboutir à une soumission"